L’apprentissage de la lecture (2/6)

Apprendre en 3 mois, vraiment ?

L’école publique voudrait nous faire croire qu’en 3 mois tous les enfants peuvent apprendre à lire. Il suffirait d’arriver en CP, de travailler de septembre à décembre, et hop, le tour serait joué. Les plus lents auront encore 6 mois pour s’y mettre avant la fin de l’année.

Pourtant tout le monde sait pourtant que les petits français sont de piètres lecteurs. Toutes les études le montrent, notamment l’étude internationale PRILS. La France est quasiment dernière des pays de l’OCDE.

https://www.lemonde.fr/education/article/2017/12/05/niveau-de-lecture-en-france-l-enquete-pirls-resumees-en-cinq-chiffres_5225060_1473685.html

Tous les parents un peu vigilants constateront qu’une petite moitié de la classe de CP arrive à la classe supérieure sans maîtriser parfaitement la lecture. Quand les bases ne sont pas acquises dans les temps, il est ensuite quasiment impossible de les rattraper.

http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/2016/05/18/01016-20160518ARTFIG00247-un-jeune-sur-dix-en-grande-difficulte-de-lecture.php

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Si l’on ne maîtrise pas correctement la lecture et l’écriture, il est impossible de progresser dans les autres enseignements. Même en mathématiques ou en physique, il faut à la fois comprendre les énoncés, souvent tournés de manière volontairement complexe, et surtout les notions auxquelles correspondent les éléments définis. Et que dire des autres matières: apprendre une autre langue sans connaître la sienne, apprendre l’histoire la littérature, la philosophie? Impossible!

Le système actuel ne peut que conduire à l’échec et c’est en fait parfaitement compréhensible. Alors pourquoi?

Quoi ! Il faut apprendre tout ça !

Tout simplement parce que l’apprentissage de la lecture est une opération complexe qui nécessite bien plus de temps et de compétences que supposé. Il est rigoureusement impossible d’apprendre à lire et écrire en 3 mois. La lecture est sans doute l’un des apprentissages les plus difficiles que l’on soit amené à faire de toute notre vie. Mais comme l’alpiniste qui est arrivé au sommet de la montagne oublie soudain toutes les souffrances de l’ascension, nous avons oublié nous-mêmes tout le soin et le travail que nous avons produit pour devenir des lecteurs. Nous ne nous en rendons plus compte de la difficulté.

Commençons par délimiter et mesurer ce qu’il faut apprendre.L’apprentissage de l’alphabet seul comprend l’ensemble des 26 lettres, selon 4 manières de les écrire : majuscules en scripts et cursives, minuscules en scriptes et en cursives. Cela représente déjà 104 signes.

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Ensuite, certaines lettres ont plusieurs sons, comme é, ê, è, et certains groupes de lettre donnent des sons spécifiques, comme ai, euil, on, en. C’est ce que l’on appelle les phonèmes, les sons. L’opération est complexe, puisque le B par exemple, ne se prononce jamais B, mais toujours « be », comme le D ne se prononce jamais D, mais plutôt « de ». Il faut donc apprendre les lettres et les sons. Il convient donc d’ajouter aux lettres les 36 phonèmes de la langue, répartis en 16 voyelles + 3 semi-consonnes/voyelles + 17 consonnes. Voir la liste complète ci-dessous :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Phon%C3%A8me

Cela nous donne 104+36, soit 140 items à apprendre de base. Nous disons de base, car il faut encore ajouter à cela toutes les combinaisons du type b-a: ba et sans oublier les a-b, ab. Sur la base des seules lettres, sans tenir compte des tous les phonèmes, nous pouvons estimer ces combinaisons comme suit: 16 voyelles/sons, 17 consonnes, soit 32 combinaisons par consonnes, du type a+b=ab et b+a=ba, ce qui fait 32*17= 544 combinaisons ( par simplification, nous ne prenons pas en compte les semi-consonnes. Il s’agit d’avoir un ordre de grandeur).

Cela porte le total à 684 items! Si l’on ajoute encore à cela le fait de comprendre ce dont on parle, c’est à dire la liaison entre le mot, le son, et la chose désignée, le score va encore considérablement grimper. Le champ des mots du langage de base est si vaste qu’il faut plusieurs années pour le maîtriser. Le vocabulaire acquis à la fin de la classe de troisième est évalué à environ 3 500 mots. Les linguistes estiment le nombre de mots les plus utilisés à environ 600. Nous pouvons facilement en déduire que les enfants en maternelle et jusqu’en CP doivent en apprendre au moins la moitié de ces 600 mots, soit 300 mots environ, en supposant qu’ils apprennent les autres 300 mots à la maison . Tout ceci est évidement fait en grande masse. Il s’agit uniquement de tenter d’estimer l’apprentissage de base de la lecture.

http://www.encyclopedie-incomplete.com/?Les-600-Mots-Francais-Les-Plus

Ajouter les mots, ou plus exactement le sens des mots, aux items nécessaires pour apprendre à lire ne serait pas forcément pertinent. Cela reviendrait à ajouter des choux et des carottes. Mais juste pour une bonne compréhension de l’effort, cela ferait 984 items (lettres, sons, mots) à apprendre, selon des méthodes cognitives différentes, puisqu’on n’apprend pas un signe, comme un son, comme ce qu’ils désignent. Et l’on attendrait des enfants qu’ils fassent tout cela en trois mois. Mission impossible, même pour Ethan Hunt.

Syl-la-bi-que ! Ou pourquoi la méthode globale rend bête

On connaît la trop célèbre querelle des méthodes entre la méthode syllabique et la méthode globale. Les faits, la méthode réellement utilisée à l’école, et leurs impacts sur le niveau de langue des enfants restent peu clairs. Le ministère désigne la méthode globale comme la principale responsable de la chute du niveau en lecture. De leur côté, les enseignants disent qu’ils ne l’appliquent pas, ou plus. Ils utiliseraient plutôt une méthode mixte, entre la globale et la méthode syllabique.

Le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer a été obligé d’en appeler à la science, et aux travaux de Stanislas Dehaene, notre neurologue nationale de renommée mondiale (il est même cité dans Docteur House, S3E24 !) pour tenter de contrer la doxa des pédagogues et les pratiques des enseignants. Cette lutte sur les méthodes de lecture en dit long sur l’état intellectuel de notre pays, tant il est évident que la méthode syllabique est supérieure en tous points à la méthode globale.

La raison en est très simple. La méthode syllabique intégrale, défendue dans ce post, est en fait une méthode totalement analytique. Il s’agit d’apprendre à combiner ou additionner les lettres pour faire des sons composés. C’est une procédure de bout en bout mathématique, arithmétique, et c’est pour cela qu’elle rend les enfants qui la pratiquent plus intelligents et les prépare très efficacement à l’apprentissage des mathématiques. La méthode globale est d’évidence paresseuse. Il suffit d’apprendre des paquets de lettres par cœur et de les restituer. Avec l’énorme désavantage qu’il faudrait apprendre tous les mots de la langue pour pouvoir lire, soit 3500 idéogrammes pour un niveau de 3ème, environ 10 fois plus de combinaisons que dans la méthode syllabique. Il est par ailleurs notoirement difficile de s’approprier tout nouveau mot, puisqu’on ne peut pas le décomposer. Sans même parler de l’impact induit sur l’apprentissage des autres langues utilisant le même alphabet et la même logique des phonèmes. La méthode globale correspond bien aux langues idéographiques, comme le chinois, où les dessins correspondent à des mots, mais pas aux langues indo-européennes.

S. Dehanne

Quand on a tout appris, il en reste encore!

Une fois acquis tous ces éléments techniques, et en possession d’une partie au moins de la compréhension de ce qu’il lit, l’enfant ne sera pas encore complètement un lecteur. Il faut encore apprendre le rythme de la phrase, voir du paragraphe, les intonations propre au narrateur, à l’histoire aux personnages. Et ce qui est encore plus rare et pourtant tout aussi important, les liaisons! Il y a là encore une quinzaine de règles, 8 obligations, 7 interdictions, 2 règles facultatives mais conseillées, pour être précis. Nous les connaissons toutes de manière plus ou moins intuitives, mais nous devrions en avoir

Et voici les règles, pas si évidentes à toutes maîtriser:

https://www.lepointdufle.net/ressources_fle/liaisons_obligatoires_liaisons_interdites.htm

Ou encore ici:

https://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-87708.php

Un exemple de programme d’apprentissage de la lecture

Les types d’apprentissage

Avant de continuer, il reste deux points à expliciter. Même si la méthode syllabique est la meilleure, cela ne veut pas dire qu’il ne faille pas prendre en compte la spécificité de chaque enfant et l’appliquer indifféremment.

Les études pédagogiques ont notamment montrées l’importance du type de mémoire utilisé par chaque enfant. Chacun d’entre-nous utilise de manière différente ses différents sens. Certains sont plus tactiles, ou kinesthésiques. D’autres plus auditifs. Un enfant kinesthésique apprendra plus facilement à lire en apprenant à écrire en même temps. Un enfant auditif au contraire, pourrait faire semblant d’apprendre, en retenant immédiatement l’intégralité de la leçon. Cela peut paraître un grand avantage d’avoir une telle mémoire. Mais un tel enfant n’apprendra tout simplement pas à lire. Il va se contenter de mémoriser toutes les leçons et pourra les réciter sans même avoir le livre sous les yeux. De la même manière, un enfant très visuel sera le candidat parfait pour la méthode globale. Ce type de mémoire, qui est sans doute le plus puissant de tous, et aussi le plus rare, la mémoire dite eidétique, celle de la capacité de retenir automatiquement les formes, est sans doute un avantage considérable pour ceux qui ont la chance de la posséder. De très grands mathématiciens, comme le génie suisse Euler, en étaient dotés. Mais pour le commun des mortels, elle pourrait s’avérer un frein à l’apprentissage complet de la lecture. Si l’on s’appuie uniquement sur la mémoire visuelle, l’enfant apprendra tous les mots un par un, et non pas un système de sons qui permet de décrypter tous les mots. Heureusement, si on lui apprend avec la méthode syllabique, tout ira bien.

Type de mémoire VAK

Une méthode pluri-annuelles

Compte tenu de tous les éléments cités précédemment, nous proposons un apprentissage graduels sur plusieurs années.

– 1ère année: apprentissage des lettres, des différents alphabets et du vocabulaire

-2ème année: apprentissage de la lecture des B-A, BA et A-B, AB, puis les phonèmes, selon la méthode syllabique. On apprendra des mots simples, d’une et deux syllabes. Les textes servant de supports doivent aller du plus simple au plus compliqué.

-3ème année: fin de l’apprentissage des phonèmes, lecture rythmée et liaisons.

Ensuite, l’apprentissage de l’orthographe et la découverte de nouveaux textes littéraires, et d’histoires plus sophistiquées, de dessins animés, de films, donneront des modèles pour apprendre l’intonation et le rythme. La récitation des poésies et quelques cours de théâtre et ou de chants, compléteront la formation.

Les outils

Il n’existe sur le marché aujourd’hui aucune méthode vraiment complète correspondant à la proposition de ce post. Il faut agglomérer les méthodes du marché pour construire une méthode vraiment complète. Aucune méthode en effet ne prend en compte toutes les combinaisons de phonèmes nécessaire à un apprentissage complet. Il faut agglomérer plusieurs méthodes pour arriver à un système si ce n’est parfait, du moins plus complet.

Tableaux majuscules
Tableaux minuscules

La méthode Boscher, Daniel et Valérie, la méthode Hattemer permettent d’arriver à ce résultat. (La méthode Hattemer n’est pas en libre distribution dans le public. C’est une méthode privée qui est commercialisée uniquement par cette école. Il y a quelques années, une tentative de publication de la méthode a été faite sans le consentement de l’école. Pour respecter la confidentialité de cet enseignement, nous n’en donnons pas d’exemple. Cependant, il s’agit d’une méthode purement syllabique, qui ne présente donc pas de mystère particulier).

Bocher
Daniel et Valérie

La méthode Boscher propose également des volumes additionnels, allant des niveaux 1 à 8 et correspondant à de petites histoires que l’on peut lire au fur et à mesure de l’apprentissage, pour consolider une série de leçons, et donner du plaisir aux enfants en leur montrant à quoi sert la lecture.

Paco

Il existe d’autres ouvrages du même type qui pourront également être utilisés pour apprendre la lecture. Le fait de reprendre les leçons dans un ordre différent ou avec des mots différents est évidemment très bénéfique à la consolidation des apprentissages. Il sera très bénéfique d’utiliser plusieurs méthodes, qui se compléteront les unes les autres.

Pour écrire, il s’agit de commencer par faire des lignes d’écriture pour chacune des lettres majuscules et minuscules. Ensuite, pour l’apprentissage de l’écriture, l’on fera comme pour la lecture. On commencera par des mots simples, d’une ou deux syllabes, puis de trois syllabes, puis de quatre. Là encore, il existe une offre intéressante de cahiers d’écriture sur le marché.

Le cours Hattemer, célèbre pour avoir accueilli Jacques Chirac, Anne Sinclair, ou encore avoir compté Jean d’Ormesson comme l’un des élèves de son cours par correspondance.

la librairie des écoles présente d’excellent ouvrage, impossible de ne pas les citer:

https://www.lalibrairiedesecoles.com/produit/la-bonne-methode-de-lecture-cp/

L’apprentissage du vocabulaire

En plus de l’apprentissage de la lecture, une bonne méthode pour enrichir le vocabulaire des enfants est d’utiliser les imagiers. L’imagier du Père Castor est un grand classique. Il en existe plein d’autres.

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Une bonne méthode est d’apprendre le vocabulaire en parcourant des « univers »: les saisons, les différents types de géographies (le désert, la mer, la ville, la montagne),

Kididoc le corps

L’apprentissage du vocabulaire est essentiel à l’apprentissage de la lecture. On aurait pu facilement croire l’inverse et penser qu’une fois devenu lecteur les enfants apprendraient d’eux-mêmes de nouveaux mots, au fur et à mesure de leurs lectures. C’est un peu un vœu pieu. Les études montrent au contraire que la connaissance préalable d’un vocabulaire important permet à l’enfant qui déchiffre de mieux comprendre les textes et d’y prendre beaucoup plus de plaisir. Sans un vocabulaire suffisant, les enfants ne comprennent pas ce qu’ils lisent! Impossible pour eux de savoir s’ils ont bien lu.

https://www.lepoint.fr/education/l-apprentissage-de-la-lecture-se-joue-en-grande-section-de-maternelle-05-06-2019-2317002_3584.php

L’apprentissage de l’écriture

La plupart des méthodes recommandent d’apprendre la lecture en même temps que l’écriture. Le double apprentissage permet d’avoir un support sensoriel plus fort, en ajoutant l’écrit au mot visuel et à l’audition.

Tout dépend du développement moteur de l’enfant. Si l’on commence l’apprentissage très jeune, il se peut que le développement moteur, la motricité fine, celle qui permet de tenir son stylo, ne soit pas encore suffisamment développée. Et cela n’entrave pas, jusqu’à un certain point, un début d’apprentissage de la lecture. En revanche, pour un apprentissage plus complet, pour des mots de plus de trois syllabes, des phrases plus complexes que seulement sujet-verbe-complément, il faut attendre ou plutôt avancer au rythme de l’enfant.

Le bon rythme

C’est volontairement que les classes ou l’âge correspondant à chacune des années proposée n’est pas mentionnée dans le programme ci-dessus. Il est clair que les enfants peuvent à peu près tous apprendre à lire avant le CP. Il semble réaliste de penser que tous les enfants pourraient avoir appris à lire en fin de grande section de maternelle. Une bonne partie pourrait avoir fait l’essentiel avant la moitié de la Grande Section. Il s’agit d’être capable de déchiffrer les mots et de lire des textes simples et proportionnées aux capacités des enfants, pas de lire Balzac et Zola.

Il suffit pour apprendre à lire de faire 15 à 20 minutes d’exercices par jour, ce qui correspond au temps de concentration suivi possible à leur âge. Il est assez facile de toute manière de repérer le moment où l’enfant décroche pour savoir quand arrêter. Nul besoin de bourrer le crâne des enfants.

Le rythme dépend aussi des capacités et du goût de chacun. Certains avanceront plus vite que d’autres. Certains écriront mieux, d’autres liront mieux, etc. L’enseignement peut être fait en individuel, ou en groupe, pour profiter de l’énergie collective. Compte tenu de l’âge, il n’est pas nécessaire de segmenter les enfants en groupe de niveaux. On n’hésitera pas à faire des pauses, des retours, voir à tout recommencer depuis le début suivant une autre méthode, pour ancrer les enseignements.

Un autre point concerne l’apprentissage dissociés des lettres et des phonèmes. C’est l’astuce qui permet à la méthode Montessori d’aller plus vite que les autres, on n’y apprend pas les lettres. Il est en effet assez difficile pour les enfants d’apprendre d’abord B, puis de le mettre de côté dans un coin de la tête pour ensuite se concentrer sur « be », le phonème que l’on rencontre effectivement dans la lecture. Les sons correspondants aux lettres seules seront appris après.

Pour aller plus loin

Si tous les enfants pouvaient arriver au CP en sachant lire, ils pourraient ensuite se concentrer, pendant l’intégralité du primaire, sur l’apprentissage de l’orthographe, ce si délicieux labyrinthe de règles de notre langue. A ce titre, notons qu’un enseignement centré sur les règles des l’orthographe, et non celles de la grammaire, aurait de biens meilleurs résultats. Pendant toute cette période, le gout pour la lecture doit être maintenu et développer, par des lectures obligatoires, des rallies de lectures, l’accès aux histoires pour enfants (en prenant un peu garde à la psychologie qui y est développée). De même, après un apprentissage de base des règles via des dictées et quelques exercices, il faudrait passer dès l’arrivée au collège à la rédaction de texte.

Le collège serait consacré à l’apprentissage de la rédaction, des résumés, des registres de langues, des types de discours, autant d’éléments à apprendre par la pratique, et non de manière théorique.

Enfin, tout ceci pourrait être mis en place si l’on avait un peu plus confiance en une méthode robuste d’apprentissage de la lecture et un suivi plus sérieux des élèves.

A ceux qui objecterait que nous ne pensons qu’à gâcher l’enfance des enfants, et que ce programme est un véritable bourrage de crâne, nous répondrons simplement qu’apprendre est l’une des plus grande joie de l’existence, à tout âge et surtout pour les enfants. Pire selon leurs critères, nous leur rappellerons également qu’il y a encore beaucoup d’autres choses à apprendre pour poser les bases des apprentissages logiques et mathématiques, sans même parler des autres matières!

Snoopy lecture

Annexes:

Deux nouvelles méthodes mises en avant par l’Education nationale

http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/les-manuels-de-lecture-passes-au-crible-par-le-ministere-20190714

Ces deux méthodes reprennent la plupart des nos conseils

La lecture piano:

https://www.editions-retz.com/actualites/lecture-piano-decouvrez-l-interview-de-sandrine-monnier-murariu-auteure-de-cette-nouveaute.html

Je lis, j’écris:

http://www.leslettresbleues.fr/spip.php?article12

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